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Logiciel IDhall : Quelle valeur ajoutée ?

Logiciel IDhall : Quelle valeur ajoutée ?

IDhall est une application prête à l’emploi avec un impact immédiat pour l’organisation.

La plateforme se démarque par sa facilité d’utilisation, sa flexibilité et sa capacité à s’adapter aux besoins de chaque organisation. Son interface intuitive permet une adoption rapide par les équipes, tandis que ses fonctionnalités avancées offrent une gestion complète des initiatives.

Vous constatez aujourd’hui que les outils actuels entravent votre productivité et votre efficacité organisationnelle. Vous êtes convaincu qu’IDhall peut révolutionner à la fois la capacité d’engagement des équipes et la capacité d’exécution de votre organisation.

Vous avez hâte de déployer la solution, mais il reste un pas important à faire : convaincre qui de droit de l’intérêt de l’investissement dans IDhall.

En d’autres termes, comment présenter un retour sur investissement qui permettra de valider le budget ?

Les variables à prendre en compte dans le calcul du retour sur investissement

Pour calculer le retour sur investissement d’un logiciel, vous devez d’abord calculer la somme de tous les coûts associés à l’acquisition et à l’utilisation du logiciel sur une période choisie (généralement 12 mois). Il s’agit du montant de l’abonnement à la plateforme, les frais de maintenance et de support, les coûts de formation, les coûts de mise en œuvre et d’exploitation ainsi que les coûts indirects (dépenses internes au sein de votre organisation pour le projet).

Dans le cadre d’IDhall, ce calcul est simple. Si vous connaissez le nombre d’utilisateurs, nous pourrons vous communiquer tous ces chiffres très rapidement.

Ensuite, vous devez calculer les bénéfices du logiciel, et en particulier les gains associés à la réduction de la non-productivité et à l’amélioration du Time to Market.

Nous pouvons calculer le retour sur investissement (ROI) d’IDhall en utilisant la formule suivante :

Comment calculer le retour sur investissement d’un logiciel ?

Les gains de productivité

Dans le cadre d’un usage d’Excel, de nombreux irritants entravent l’efficacité des utilisateurs dans le traitement des initiatives et la productivité des responsables dans la préparation et l’animation des revues périodiques :

  • Localiser le fichier à utiliser et gérer les éventuels conflits de version ;
  • Localiser les initiatives dans le fichier et les informations qui nous intéressent ;
  • Trouver des solutions alambiquées pour ne pas perdre l’historique ;
  • Mettre à jour les données en faisant attention de ne pas écraser d’autres données ;
  • Notifier, informer ses collègues par d’autres moyens (email, Teams) des éventuels changements ;
  • Consolider les données en veillant à leur intégrité ;
  • Trouver des solutions pour contourner les limitations d’Excel au niveau des rapports ;
  • Corriger les erreurs.

Nos clients rapportent que l’usage d’outils inadaptés pour gérer une initiative de bout en bout entraîne des temps de non-productivité pour l’ensemble des personnes concernées qui, cumulés, peuvent représenter plusieurs heures en fonction de la nature de l’initiative.

L’impact d’outils inadaptés est encore plus significatif sur les personnes chargées de piloter un portefeuille d’initiatives. Les temps consacrés, pour chaque revue, à la pêche aux informations, à la consolidation des données, aux contrôles d’intégrité et à la mise en forme des informations se chiffrent en heures perdues par revue et par responsable.

Voici comment calculer le coût de la non-productivité au sein de votre organisation, et donc les gains de productivité à intégrer dans le calcul du retour sur investissement :

Calculer le coût de non-productivité au sein d’une organisation

Ramené à un taux horaire moyen de 50 euros, le coût de non-productivité d’outils inadaptés peut vitre devenir très significatif. Sans compter l’impact négatif des irritants sur l’engagement et la collaboration des équipes.

Avec IDhall, nos clients estiment que la non-productivité est réduite d’au moins 70%. Cela se traduit directement par une efficacité accrue et une meilleure utilisation des ressources.

L’amélioration du Time to Market

Prioriser efficacement vos projets et en simplifier la gestion peut réduire considérablement la durée nécessaire pour les mettre en place.

Avec IDhall, nos clients estiment que le Time to Market peut être amélioré de 30 à 50%.

Imaginez que vous accélérez cette mise en œuvre de 20%. Cela signifie que pour chaque série de cinq initiatives, vous aurez la capacité d’en gérer une de plus.

Ainsi, si vous réduisez de 20% la durée nécessaire pour mettre en œuvre des projets dans un ensemble de 100, vous pourriez réaliser 20 projets supplémentaires. Et si chaque projet vous apporte un bénéfice de 5 000 €, cela représente un gain additionnel de 100 000 € par an pour votre organisation.

C’est le principe théorisé dans la loi de Little. En synthèse : plus l’on sature les collaborateurs de projets et de plans d’action, plus les délais augmentent pour chacun d’eux. Alors qu’en restreignant le nombre de projets en cours, on dispose des ressources nécessaires et on accélère ainsi leur réalisation. La loi de Little est donc un excellent principe à appliquer lorsqu’il s’agit de piloter les portefeuilles de projets puisqu’elle permet de garder une vue d’ensemble et d’optimiser la mise en œuvre opérationnelle.

Les bénéfices indirects : l’engagement et la collaboration

En complément de la réduction de la non-productivité et de l’amélioration du Time to Market, IDhall apporte des bénéfices indirects qui sont tout aussi cruciaux. Les fonctionnalités collaboratives du logiciel créent un environnement propice à la collaboration. La simplicité de son interface permet une adoption rapide par les équipes. La richesse fonctionnelle de la plateforme apporte de l’aisance et de la fluidité dans le pilotage des initiatives. La transparence et la facilité d’accès développe la confiance des différentes parties prenantes. Tout cela contribue à révolutionner à la fois la capacité d’engagement des équipes et la capacité d’exécution de l’organisation.

Exemple de calcul du retour sur investissement avec IDhall

Voici les hypothèses retenues sur 12 mois :

Exemple de calcul pour calculer le retour sur investissement du logiciel IDhall

Sur la base de ces hypothèses, on obtient les résultats suivants :

  • Coûts = 13 000 euros + 5 000 euros = 18 000 euros
  • Gains de productivité = (1 heure x 200 initiatives x 50 euros) + (2 heures x 40 revues + 10 responsables x 50 euros) = 10 000 euros + 40 000 euros = 50 000 euros
  • Amélioration du Time to Market = 200 initiatives x 20 % x 5 000 euros = 200 000 euros
  • Bénéfices = 50 000 euros + 200 000 euros = 250 000 euros
  • Retour sur investissement = (250 000 euros – 18 000 euros) ÷ 18 000 euros x 100 = 1 288 %

A vous d’adapter les hypothèses en fonction de votre organisation pour calculer le retour sur investissement. Vous pouvez aussi vous inspirer des retours d’expériences de nos clients.

L’entreprise Sew Usocome a observé une augmentation de 50% de l’efficacité opérationnelle grâce à une meilleure coordination des initiatives :

Maintenant que toutes les informations sont suivies dans IDhall, on sait exactement où on en est et on n’a pas besoin d’aller à la pêche aux informations. On voit tout de suite où sont les difficultés et sur quoi on doit agir durant les réunions de suivi. Cette meilleure visibilité a créé du dynamisme, chacun sait ce qu’il doit faire et a des rappels sur les tâches prioritaires à mener (…).
Cédric Husser – Coordination des projets transversaux – SEW USOCOME

D’autres entreprises, comme SWM International et Poclain Hydraulics, présentent des retours très concrets également sur le time to market ou les délais d’exécution :

Dès la mise en place d’IDhall, nous avons réduit la durée des projets R&D d’environ 30%. Les équipes ont tout de suite eu la visibilité nécessaire sur l’avancement, ce qui a permis de nettoyer le portefeuille et de prioriser les actions nécessaires sur certains projets. Aujourd’hui, la durée moyenne des projets R&D a été divisée par 2, ce qui nous permet d’avoir une meilleure réactivité vis-à-vis de nos clients et du marché.
Raoul Hervé – Senior Vice-President & COO – SWM International
Nous avions pour objectif de suivre les demandes d’études avancées de bout en bout et de réduire leur délai d’exécution, dans le but de permettre une conception plus rapide de produits offrant plus de valeur à nos clients. Nous constatons aujourd’hui une réduction par deux du temps d’exécution des études avancées.
Luciano Di Fabrizio – R&D Efficiency Director – Poclain Hydraulics

A votre tour de calculer vos bénéfices !

Cet article vous a intéressé ? Téléchargez ci-dessous le guide pour évaluer le retour sur investissement spécifique à votre organisation.

IDhall : découvrez sa valeur ajoutée

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